Variations chatées
On dit
écrire comme un chat, mais les pattes de chat sont illisibles !
Avez-vous
constaté qu’il n’y a pas un chat dans les rues ? Vous me rétorquerez qu’il n’y a
pas de quoi en fouetter un chat. Mais si, car quand le chat n’est pas là, les
souris dansent.
C’est ce
qui se passe dans notre village. Dormez braves gens, la nuit tous les chats sont
gris, nos élus en profitent pour acheter le « château » (surnom de la villa
Erika). N’y a-t-il pas un chat pour les empêcher de nous
chagriner ?
Mais
sans doute ont-ils d’autres chats à
fouetter.
Toutes
ces chattemites (personne qui affecte des manières douces et modestes pour
tromper son entourage) chatouilleuses sur leurs prérogatives se chamaillent la
dépouille de notre village.
Chacun
sait que les chacals ne réveillent pas le chat qui dort, mais le chat ne dort
que d’un œil et attention car chat échaudé craint l’eau chaude ! Il pourrait
bien leur donner du chat à neuf queues. Le « châtiment » sera le verdict aux
élections de 2008.
En
attendant, je donne ma langue au chat car je ne comprends rien au fonctionnement
irrationnel des élus thièrois, mais je sais une chose, ils ne me feront pas
passer par le trou de la chathiers !
Pour ce
soir je vous chalut et vais noyer mon chagrin dans un petit verre de chablis
pour accompagner le chabichou.
Chatterton